

Journée internationale de la femme, 8 mars 2021 « Leadership féminin : Pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 »
Tribune du Président de la Banque Ouest Africaine de Développement
La journée spéciale du 8 mars, commémorée dans le monde en faveur des droits des femmes, me donne l’occasion de rendre un hommage appuyé à toutes les braves femmes : les épouses, mères et filles du monde entier et, particulièrement, celles de notre sous-région.
Les femmes font face à des pesanteurs socio-culturelles et souvent d’exclusion sociale et économique ; mais continuent à faire montre d’une résilience avec bravoure en s’engageant et prenant sur elles le pari de l’amélioration de leurs conditions de vie et celles de leurs foyers. Dans ce combat, la responsabilité des hommes est un levier structurel de changement.
Les constats ci-dessous traduisent si bien la pertinence du thème de la présente commémoration :
En Afrique subsaharienne, 59% des femmes de 25 à 34 ans figurent parmi les personnes extrêmement pauvres, d’après une étude mondiale réalisée par l’ONU sur le rôle des femmes dans le développement[1]. Cette étude recommande de placer l’égalité des sexes, les soins et travaux domestiques non rémunérés au premier rang des priorités dans l’élaboration des stratégies d’élimination de la pauvreté et de développement durable.
En Afrique de l’Ouest, les inégalités entre les sexes sont très profondes au détriment des femmes comme le mesure l’indice moyen des inégalités des Nations Unies [0,61 sur 1], ce qui reflète la persistance des discriminations. La pandémie de la COVID-19 a malheureusement creusé ce fossé et les droits des femmes, y compris ceux relatifs à l’intégrité physique, ont été bafoué.
La COVID nous montre aussi qu’il est une nécessité absolue, pour faire société, de s’appuyer sur celles qui la font exister, que ce soit au sein de leurs foyers ou au sein des structures économiques. Tout ceci nous invite à la nécessité d’actions afin de promouvoir le leadership féminin ; et de soutenir, à travers nos financements, l’émergence des femmes entrepreneures comme acteurs clé de la croissance économique.
Ainsi, la réponse de la Banque à la pandémie ne se limite pas à rectifier des inégalités de longue date ; il s’agit de contribuer à bâtir un monde résilient dans l’intérêt de tous, où aucune femme n’est laissée pour compte. C’est pourquoi, la Banque accentue dans les Etats membres ses interventions afin de garantir au profit des femmes la création d’opportunités économiques et d’emplois.
Ce qui précède indique la cohérence et la pertinence du thème, combien évocateur, retenu cette année au niveau international. L’avenir sera meilleur lorsque les femmes seront pleinement parties prenantes des instances décisionnelles afin que leurs besoins pratiques et stratégiques soient efficacement pris en compte. La BOAD en tant qu’institution de développement durable a une responsabilité centrale dans la promotion et la réalisation de l’émancipation des femmes. C’est la raison pour laquelle, nous nous sommes engagés à travers notre Plan Stratégique Djoliba 2021-2025 à assurer un financement inclusif pour les femmes.
En interne, la Banque a mis un accent particulier sur le renforcement des compétences et du leadership féminin et l’amélioration du taux de participation des femmes dans les instances de la Banque. Bien entendu, aucune différence n’est faite dans la rémunération : à poste égal, les femmes et les hommes perçoivent la même rémunération.
En matière de gouvernance de l’Institution, en plus des directrices déjà en poste avant ma nomination, j’ai récemment recruté une directrice de cabinet et promu une femme au poste de Secrétaire Générale de la BOAD. Au-delà du prix que j’attache à la question du genre, les choix portés sur ces deux collaboratrices pour occuper des postes éminemment stratégiques, sont en phase avec les engagements que j’ai souscrits auprès des plus hautes Autorités de l’UEMOA lors de ma prise de fonction et se justifient amplement au vu de la compétence dont elles font preuve.
Je souhaite saluer les nominations de Dr Ngozi Okonjo-Iweala à la tête de l’OMC ainsi que celles de toutes ces femmes qui par leurs mérites et leurs expertises occupent de hautes fonctions dans nos Etats, nos entreprises et nos institutions. Le leadership des femmes n’est pas un vœu pieux, c’est une nécessité de développement ; et j’ose espérer que ces nominations ouvrent et renforcent en Afrique l’émergence d’un leadership féminin seule vraie voie pour un développement humain durable et équitable.
Je voudrais transmettre mes vives félicitations aux Etats de l’Union qui adhèrent à ces efforts de promotion du leadership féminin. Un monde où la femme et l’homme contribueraient et bénéficieraient équitablement des fruits du développement de nos sociétés et de nos économies est en émergence. C’est une fierté et un devoir de pouvoir contribuer à son avènement en ma qualité de Président de la BOAD.
Serge EKUE
Président de la BOAD
Les stars nigérianes de la musique afrobeats, Burna Boy et Wizkid, ont toutes deux été récompensées lors des Grammys 2021.
Burna Boy a remporté la catégorie du meilleur album de musique globale, tandis que Wizkid a remporté le prix du meilleur clip vidéo pour sa chanson avec Beyoncé, Brown Skin Girl, tirée de l'album Lion King : The Gift.
La fille de Beyoncé, Blue Ivy, a également été récompensée pour cette chanson.
Le prix de la meilleure vidéo musicale est décerné à l'artiste, au réalisateur et au producteur de la vidéo. Burna Boy, de son vrai nom Damini Ogulu, nominé pour la deuxième année consécutive, a gagné avec son album Twice As Tall.
La 63e cérémonie des Grammy Awards se déroule à Los Angeles. Traditionnellement présentée comme "la plus grande nuit de la musique", la cérémonie de cette année est différente en raison de la pandémie de coronavirus.
Dans la nuit du dimanche au lundi 15 mars, de nombreux artistes ont été récompensés lors de la 63e cérémonie des Grammy Awards, dont une icône, Beyoncé.
La collection de Grammy de Beyoncé s’agrandît avec 28 prix au total. Du jamais vu pour cette cérémonie. Elle se retrouve à égalité avec le célèbre producteur Quincy Jones. D’ici quelques années, il se pourrait bien que Beyoncé détienne le record de trophées de la cérémonie.
Girl Power! Chaque année se déroule la prestigieuse cérémonie des Grammy Awards. Et pour cette 63e édition, les artistes décident d’offrir une soirée de rêve aux téléspectateurs. Au programme, un défilé de stars dans des tenues somptueuses, des performances inédites et bien évidemment la fameuse remise de prix!
Et avec de nombreuses nominations, Beyoncé en ressort la grande gagnante. La chanteuse repart avec trois prix entre les mains. Celui de la «Meilleure performance rap» pour le titre «Savage» avec Megan Thee Stallion. Egalement la «Meilleure performance R&B» pour «Black Parade».
Amel Bent mobilisée pour les droits des femmes
En ce 8 mars, journée internationale des droits des femmes, Amel Bent s’engage au sein de la campagne «RegardeMoiBien», initiée par le Fondation des Femmes. Découvrez ses posts Instagram.
«Regarde-moi bien quand je dis non.» Amel Bent fait passer un message fort en soutien à toutes les femmes, en ce 8 mars 2021. La chanteuse fait partie des célébrités à poser pour la Fondation des Femmes qui œuvre pour la reconnaissance de la parole, des droits et des revendications des femmes.
«Ignorer les femmes c’est bafouer leurs droits», dévoile la Fondation dans un communiqué relayé par l’interprète de «1,2,3».
Amel Bent pose sobrement sur un fond blanc pour le mouvement «RegardeMoiBien». Elle rejoint ainsi les artistes Julie Gayet, Anna Mouglalis, Muriel Robin ou encore Nadège Beausson-Diagne.
Amel Bent remercie les femmes qui l’entourent
En cette journée internationale des droits des femmes, Amel Bent a également voulu honorer toutes les femmes du monde entier et plus particulièrement celles qui l’entourent comme sa mère ou sa sœur. En légende de photos de sa famille, l’artiste écrit: «Vive nous».
La chanteuse revient sur son parcours et sa construction personnelle possibles grâce aux soutiens sans failles des femmes qui l’accompagnent : «Ma loyauté envers les femmes est sûrement un des liens le plus puissant de mon existence. Chaque parcelle de moi , je l’ai construite avec ou pour une femme . Elles sont depuis toujours les grandes architectes de ma vie. J’ai foi en leur pouvoir , leur force et leur résilience.», explique-t-elle sur Instagram.
Brenda Biya en quête d’amour !
La fille du couple présidentiel camerounais Paul et Chantal Biya, la ravissante Brenda notamment, a récemment fait une sortie via sa page officielle Facebook dans laquelle elle a fait savoir à ses milliers à tous ceux qui la suivent sur les réseaux sociaux, qu’elle est à la recherche de l’amour. Mais pas n’importe quel amour.
Brenda, fille de Paul Biya, président de la République du Cameroun et de Chantal, a récemment fait une sortie via sa page officielle Facebook dans laquelle elle a fait savoir à ses milliers de fans et à tous ceux qui la suivent au quotidien sur les réseaux sociaux, qu’elle est à la recherche de l’amour. Cependant, selon elle il ne s’agit pas de rechercher n’importe quel amour. Il est question pour Brenda Biya de rechercher un amour spécifique.
La chanteuse camerounaise, Brenda Biya, 23 ans, qui a également signé la sortie de son premier album de cinq chansons, espère un amour réconfortant, calmant et sûr. En un mot, un amour parfait. « Je veux un genre d’amour réconfortant, calme et sûr », a-t-elle écrit. Et cette publication est suivie de sa photo en couverture de « BREF MAGAZINE ».
CONGO- IFC : des femmes peintres et sculpteurs congolaises exposent leurs œuvres
Les femmes peintres et sculpteurs congolaises participent à l’exposition collective intitulée « L’écho » que l’Institut français du Congo à Pointe-Noire accueille dans le cadre de la célébration du mois de mars dédié à la lutte pour les droits de la femme. Lancée le 12 mars l’activité qui réunit une cinquantaine d’œuvres prendra fin le 8 avril prochain.
14 femmes artistes peintres et sculpteurs de Pointe-Noire et de Brazzaville et un jeune talent de 4 ans, toutes membres de l’Association des femmes artistes peintres et sculpteurs du Congo (AFAPSC) participent à cette exposition, une commémoration en l'honneur des talents féminins. Actuellement, à l’entrée de l’IFC, tous les regards sont attirés par une sculpture d’éléphant d’au moins deux mètres de hauteur réalisée avec des objets de récupération, notamment des boites de conserve et des canettes. Cette œuvre qui fait partie de l'exposition donne un aperçu de l’évènement. Visibles de l’extérieur, l’exposition compte une quarantaine d’œuvres aux couleurs chaudes et froides. Un nombre important qui a nécessité de l’imagination de la part de l’IFC pour les rendre toutes visibles, a expliqué sa directrice Sylvie Bayonne : «Nous avons essayé de placer d’une manière harmonieuse les œuvres jusqu’à la mezzanine, l’espace d’exposition étant trop restreint ».
Lesdites œuvres (du concret et de l’abstrait) ont des dimensions allant de 20cmx10 (avec le tryptique La beauté d’une femme de Lauréa Mbemba) à des grandes dimensions comme les fresques de 2m x 1,50m intitulées L’univers, La réunion des sages et Travail et développement de Florence M’bilampassi, présidente de l’AFAPSC Pointe-Noire, ainsi que celle de Judith Tonda, Le port de Yoro, de 2m x1m50 également. On note aussi la présence de deux œuvres exceptionnelles intitulées Papa et maman et le Covid de 20 x15 cm réalisées par la petite Victoire Nganga âgée de 4 ans. Présente lors du vernissage, son talent a épaté les invités.
Les femmes ont usé de plusieurs techniques: acrylique plus peinture à huile, huile sur toile, aluminium plus colle plus bois, acrylique sur toile, collage huile sur toile, etc. Certaines ont aussi utilisé des tissus wax, du raphia et des accessoires comme des parures. Les thèmes abordés concernent la femme mais aussi la société. Les titres des différentes œuvres sont d’ailleurs très évocateurs et parlants. On peut citer des titres comme La protestation féminine de Murielle Louemba, Regard de Frageska Mboumba, La pensée 1 et 2 de Nianga Khadji, Journée de la femme et Retour de la récolte de Claudine Tsimba, La réunion des sages 1 (dyptique) de Tsona Mboula.
Il y a aussi A la poursuite de son mari de Flodie Nganga, La femme du 8 mars d’Audrey Nkengué. La guitariste de Jenny stand, L’éveil de Christiane Mochany et la fresque de Florence M’bilampassi, Travail et développement, un thème très cher pour cette dernière qui a expliqué: «Il faut penser au développement. C’est cela qui permet de travailler dur et d’avancer. Quand on parle du développement d’une nation cela ne concerne pas que les hommes. Les femmes doivent aussi travailler pour contribuer au développement de la nation». Dans le hall de l’IFC, l’attention est aussi fixée sur les tableaux de Princilia Loumboumbou ainsi que la représentation de deux leaderships féminins faite par Célia Jules. Il s’agit de Makeda donc la Reine de Saba (incarnation de la beauté) et Ngalifourou, reine du royaume Téké qui incarne la force. « C’est pour dire que la femme c’est la représentation de la beauté mais aussi de la force », a lancé Celia Jules.
Outre les tableaux, l’exposition compte aussi des sculptures comme l’éléphant en boites de conserve et canettes déjà cité (une œuvre réalisée par Florence M’bilampassi avec les élèves des écoles Nelson Mandela et Ki-zerbo), Odzala la mascotte en bois de l’AFPSC, Le poisson composé de fer et de bouchons de bière réalisé par Lauréa Mbemba.
Agence d’Information d’Afrique Centrale
Promotion de l’entrepreneuriat féminin et de l’égalité professionnelle : le Togo champion sous-régional
Le rapport Women Business and Law 2021 de la banque mondiale est tombé : en Afrique subsaharienne, le Togo est le 7ème pays ou l’égalité professionnelle et l’entrepreneuriat féminin se développent le plus ; il vient en tête dans l’espace UEMOA. Cela est dû aux actions engagées par le gouvernement en ce sens, dont un meilleur accès aux marchés publics souligne une livraison de notre confrère agence ecofin.
On observe ainsi qu’en 2020, 27% des nouvelles entreprises créées dans le pays l’ont été par des femmes. Ces dernières se voient également confier de hauts postes de responsabilité, dont la présidence du parlement, la primature ou encore le secrétariat général de la présidence.
Un bel exemple auquel donner de l’écho, alors que le monde vient de fêter la journée internationale de la femme, sous le thème « Leadership féminin : pour un futur égalitaire dans le monde de la Covid-19 ».
La Rédaction
Iddrisu Kande, la femme à la tête d’une entreprise de menuiserie aluminium au Ghana
Au Ghana, les femmes restent minoritaires dans le secteur de la construction. Malgré les stéréotypes, Iddrisu Kande a choisi de s’aventurer dans la menuiserie aluminium. Son entreprise, Marouf Aluminium Fabrications, participe à la lutte contre le chômage.
À Ashaiman, une ville située dans le Grand Accra au Ghana, Iddrisu Kande, artisane et entrepreneure, s'est taillé une place dans la construction, un secteur généralement dominé par les hommes. Son entreprise Marouf Aluminium Fabrications (MAF) propose des cadres en aluminium pour portes et fenêtres coulissantes, fenêtres à lamelles, balustrades, fenêtres à projection, cloisons et portes battantes entre autres.
Auparavant, Iddrisu jouait au football. Son frère la convainc de se tourner vers une autre vocation après une blessure lors d’un match, et l’aide à se lancer dans la menuiserie aluminium. Elle se rapproche des fabricants locaux pour se former, mais doit faire face aux refus ou hésitations de ces derniers.
« Les apprentis m’ont dit qu’ils n’étaient pas convaincus que leur employeur allait m’accepter, qu’ils n’avaient jamais vu une femme dans ce métier », explique-t-elle à la Commission for Technical and Vocational Educational and Training (TVET Ghana).
Au Ghana, les femmes font de gros efforts pour s’intégrer dans les métiers locaux. Comme dans de nombreux autres pays, elles sont sous-représentées dans le secteur de la construction. Seulement environ 3% des travailleurs dans ce secteur sont des femmes, d’après une étude menée par le média local Align Platform en 2020. Pour causes, les stéréotypes, perceptions et normes sociétales qui veulent que la femme se tourne vers des métiers moins difficiles.
Les femmes s’inquiètent également des répercussions à long terme d’un tel labeur sur leur féminité.
Intégrité dans les projets de développement : La Banque africaine de développement émet une lettre de réprimande à Mitsubishi Heavy Industries Ltd. pour pratique repréhensible
Le Groupe de la Banque africaine de développement a émis, le 2 février 2021, une décision de sanction à l’encontre de Mitsubishi Heavy Industries, Ltd.
Selon les responsables de l’institution dans un communiqué transmis par Apo Group, cette décision intervient dans le cadre du projet de centrale à vapeur de 1300 MW d'Abu Qir (ci-après le "projet") en Égypte.
Le 15 janvier 2008, la Banque a conclu un accord de prêt avec la République Arabe d'Égypte pour le financement partiel du projet dont l’objectif global était d'améliorer l'approvisionnement en énergie électrique en Égypte. MHI, en tant que membre d'un consortium, a soumis une offre et s'est vu attribuer le contrat.
La Banque africaine de développement estime qu'il existe suffisamment de preuves pour soutenir la conclusion qu'il est plus probable qu'improbable que MHI s'est livré à des pratiques répréhensibles (fausses déclarations) dans le cadre de l'appel d'offres d'Abu Qir et de la mise en œuvre du contrat.
Compte tenu de ce qui précède et en l'absence de toute circonstance aggravante, la BAD a décidé d'émettre une lettre de réprimande à l’encontre de MHI conformément à la section 11.2 (a) des procédures de sanctions du Groupe de la Banque africaine de développement.
A noter que le personnel de la Banque africaine de développement et le grand public peuvent dénoncer les pratiques passibles de sanctions au sein de la Banque ou dans les opérations qu’elle finance, en utilisant les numéros sécurisés du Bureau de l’intégrité et de la lutte contre la corruption.
La Rédaction
Technologie : GAZOUYI, L'appli qui aide les parents à stimuler leurs jeunes enfants
Accessible depuis janvier au grand public, Gazouyi propose des activités ludiques tirées de la littérature scientifique sur le développement des enfants de moins de cinq ans. Cette appli devrait aussi intéresser des crèches ou de grands groupes désireux de soutenir la parentalité dans le cadre de leur programme RSE.
Disponible gratuitement depuis janvier 2021 sur l'App Store et Google Play , Gazouyi est une application destinée aux proches d'enfants de moins de cinq ans. Elle propose des activités ludiques - sans écrans ! que les parents, grands-parents ou nounous vont pratiquer avec les petits, pour accompagner leur développement. « Ces activités ont été mises au point en tenant compte des 300 principales étapes du développement entre 0 et 5 ans », explique Victor d'Herbemont, 25 ans, cofondateur de Gazouyi, aux côtés de Xuan-Nga Cao, 45 ans, et de Salomé Banon, 26 ans.